EVENEMENT I: Les Ombres dominent: Nee - Deav -Shola

Evénement principale premier: Les Ombres dominent

Pour ce premier jet, l'ordre reste à définir, dès que tous le monde aura finit son tour, envoyez un MP a Klytorth pour qu'il puisse continuer l'histoire.
quitte à le persécuter... !
L'ordre des tours sera définit dès le second tour de Rôle Play.


Bonne chance pour cette aventure!
En espérant qu'il soit aussi bon que ce à quoi vous vous attentiez

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Dans ce tout premier épisode de l'histoire de Jvénal, les rumeurs dans les villes circulent. Il est dit qu'une faille se serait faite à l'instar du mur noir d'Elysion à l'Est D'Alokoth.


Le Président ainsi que son conseil ont dépêchés une bonne dizaine d'homme afin de recruter des être vivants avide d'aventure et de richesse.
Quelle bonne raison faut-il à un être humain pour faire une corvée si ce n'est un amas d'or?
La ville en question ainsi que les provinces autours étaient placardés d'affiches de toutes sortes annoçant qu'il existait au temple D'Alaokoth une formule ou un objet magique permettant de refermer la faille de ce mur et ainsi, éviter à la horde de poursuivre son massacre qui, chaque nuit, pesait de plus en plus.

Cependant, d'autres rumeurs courraient déjà sur cette péripétie, certains natifs d'Alaokoth auraient déjà essayés de se frayer un chemin dans le temple Sylvestre...
Cependant une personne serait revenu de ce lieu, bégayant, pleurant et minaudant...
Il fut changé à jamais de cet aventure.


• • • • • • • • • • • • • • • • Temple de la Forêt de Firone: • • • • • • • • • • • • • • • •

Le Temple se levait dans le clair de lune, somptueux, magnifique, laissant ses lianes et feuilles rampantes émeraude s'emparer du lieu comme une mère étouffant son enfant.
La bâtisse toute de bois construite laissait planer une atmosphère légendaire et mystérieuse comme jamais, des aventuriers PNJ déjà sur les lieux avaient déjà pris conscience de la particularité de ce temple Sylvestre. L'un était tellement agité qu'il dansait d'une jambe sur l'autre, trop anxieux pour faire quoi que ce soit d'autre.
Un autre encore, assit sur une pierre, affutait longuement son cimeterre.

Une douce brise légère passait entre les feuille, faisant découvrir un long murmure rauque et lugubre sortir des entrailles du temple... dalleur en était-il bien un? Ce monstre de bois était il vraiment inoffensif?

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Vous arrivez sur ce lieu avec à votre disposition, vos armes de base, votre sort de bas niveau.
Tout autours de vous et d'un calme inquiétant...
Soudain, un cris suraiguë traverse la gorge du temple... il est temps de passer à l'action!
Attention à vous... ça sent la charogne! dalleur... une puanteur affreuse de lève depuis les alentours!
Bon jeu à vous et que le meilleur ... survive!

Sol de marbre. Blanc. Beige. Parfois même noir ou bleu ou vert. Constamment nervuré de teintes plus foncées. Des bottes souples mais élégantes semblaient le frapper d'un pas vivace sans pour autant que cette marche soit ponctuée du moindre son. Comme si un songe, une illusion, se déplaçait au milieux de ces nobles grassouillets et pathétiques. Des dames de la cours eurent quelques murmures à son passage, comme une petite habitude. Il faut les comprendre. Qui est cette femme si proche du prince ? Pourquoi ces tenues tantôt vulgaires tantôt martiales ? Les bruits couraient qu'elle était une parente lointaine qu'il employait pour diverses besognes. D'autres affirmaient qu'elle était son messager ou même son bourreau. Ah... les mystères de la cours... Nee'lahn avançait toujours, sans ce soucier de ces poules. Les immenses portes sculptées se dressèrent enfin devant elle, grandes ouvertes. Un garde fièrement dressé devant chaque battant. Sur son trône confortablement installé, régnait le prince qui eu un sourire en la voyant arriver. De quelques ordres impérieux il ne resta plus dans la sale que les gardes des portes et le bras droit du prince. La magnifique espionne mit un genou à faire, inclinant la tête.

"Votre majesté m'a faite demander ?
- Oui, merci de t'être déplacé si vite ma chère. J'ai une mission pour toi. Risquée..."

Le bras droit du prince, qui restait muet, lui remit une affichette. On recherchait des cœurs nobles prêts à sauver le peuple. Elle leva ses yeux de flammes vers le souverain. Ce n'était pas sauver les habitant qu'il désirait. Ou du moins pas pour cela qu'il l'envoyait. D'autres aventuriers ou hommes attirés par l'argent s'en chargeraient bien pour lui. Il désirait savoir de quel mal il était question. L'information est des plus importantes en ces temps et un roi aguerrit peu négocier plus habilement comme choisir le moment opportun pour déclarer une guerre. Certains d'entre vous se sont sans doute fait la remarque que les gardes de la porte pourraient assouvir la curiosité de la noblesse. Ce n'est pas le cas. Pour deux raison. La première étant que les gardes pouvant entendre trop de choses avaient bien souvent la langue coupée ou étaient muets. La compensation en or valait sans doute la perte de parole. Les personnes affiliés aux secrets communiquaient donc par un langage des signes auquel eux seuls étaient initiés. La seconde raison étant que la traîtrise, dans ce pays barbare, n’était pas passible de mort mais de torture à vie. C'est la raison principale poussant la délicieuse espionne à une extrême prudence.

"Il sera fait selon votre bon vouloir. Quand dois-je partir ?
- Parfait. Ton cheval et tes vivres seront prêts dans quelques heures. En attendant, veux-tu bien m'offrir ta tendre compagnie avant de me quitter ? "

Il s'était levé de son siège tout en parlant. Prenant délicatement une mèche dorée entre ses doigts pour la porter à ses lèvres, l'embrassant délicatement en fixant les pupilles calmes de sa poupée délicate.

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La faune et la flore semblaient avoir proliféré ici comme quantité d'êtres rampent, envahissant, peuplant tout l'espace à disposition. Les plantes rases et les broussailles se disputaient le sol avec les troncs qui le leur laissait volontiers pour tendre leurs branchages vers le ciel. Les lianes trouvant bête de laisser l'espace entre les branches et les broussailles inexploité décidèrent de se pendre aux rameaux pour l'occuper. Le tout créant une espèce de masse végétale, de mur noueux. La jeune femme sentit un frisson parcourir son corps et ses poils se hérisser sur sa nuque. Impossible d'emmener sa monture plus loin. Elle chercha une auberge convenable ou elle la laissa, donnant de quoi la nourrir et bien la traiter au gérant. Nul doute qu'il le ferait : si la demoiselle ne revenait pas sous trois semaines maximum, la splendide bête lui appartiendrait. Elle s’engagea donc à pieds (comme on saute à pieds joints dans la merde) dans cette touffe de verdure. Très vite le sol devint spongieux, lui faisant craindre quelques trous où elle pourrait chuter et mourir noyer dans de la boue ou encore quelques bestioles trop gourmandes à ses yeux. Elle prit donc la peine de se déplacer d'arbre en arbre. Pas très rapide. Mais plus sûr. Ses débuts furent aléatoires, n'ayant jamais escaladé autre chose que des murs. Mais au fond, ce n'est pas si différent. Dès lors qu'elle comprit le truc, elle fut plus à l'aise et progressa à bonne allure malgré une fatigue qui commençait à poindre.

Le temple. Enfin. Bien loin de l'idée qu'on se fait d'une demeure accueillante. D'autres personnes étaient déjà sur place. Hésitant visiblement à rentrer. il y a de quoi à vrai dire. Elle même fut tentée de faire demi-tour. Mais elle avait une mission et ne pouvait y manquer. La confiance du prince de Protumberg devait être absolue. Et puis, ceci lui permettrait d'aider son peuple. Et de gagner une coquette somme bien qu'elle n'en ai nullement besoin. Un cri retenti. Entraînant un couinement presque imperceptible de la de l'espionne. Elle tenta de s’apaiser un instant.

# C'est pas le moment de se transformer en papaye ma belle #

Elle suivit les autres silhouettes qu'elle n'avait prit le temps de détailler. Sur place, un cadavre à moitié dévoré gisait. Comme si il avait était mâché puis recraché. Quelques êtres vomirent. Pas elle. Elle avait sévèrement verrouillé son estomac et ses nerfs. Et les scène de tortures sont courantes par chez elle et dans sa besogne. Bien qu'elle ne les pratique pas, il lui arrivait de faire appel à un spécialiste de château qui torturait pendant qu'elle interrogeait. Cruauté nécessaire à n'utiliser qu'en dernier recours. Un grognement leurs fis relever la tête. Elle ricana méchamment. Quel merdier. Mais dans quel merdier elle s'était foutue ?

" Le prédateurs est là. Si vous avez un Dieu, c'est le moment de prier. Nous sommes aux portes de l'enfer. "

Elle avait peur. Alors elle faisait peur. un moyen d'évacuer. Sans avoir regardé à qui elle parlait. Grossière erreur quand on enquête, elle aurait dû tous les examiner. Mais il y avait un chat ici. Plus gros que les petits félins qui l’entouraient. Et elle refusait d'être la souris. Elle détacha la chaîne munie d'une lame qui était accroché à son pantalon. Un bon moyen de tenir l'ennemi à distance ou de le ligoter si il s'approche. Mais pas simple à manier avec des gêneurs autour.